Création . Scénographie . Fairy tale heart
de Philip Ridley
Cie Atelier intemporain .
Mise en scène Natacha Bianchi
Avec Laure Maloisel et Nicola Candoni
Scénographie et costume Kristelle Paré
Lumière Gérald Karlikow
Construction décor Laure Gilquin, Christophe Coupeaux, Maelle Joly
Régie Vincent Tudoce
création mars 2013
spectacle à partir de 10 ans
"Cette pièce aborde l'adolescence. Les deux personnages sont chacun dans un moment de
détachement de leur vie passée d'enfant, au moment de cette perte et du vertige qu'elle provoque. Ils
sont chacun en dissension avec leur famille, déjà décomposée, puis recomposée. La solitude et le
sentiment d'abandon les éprouvent. Lui s'est retranché dans un local déserté. Elle vient de fuguer.
Ce local en décrépitude, ce centre communautaire qui est également une métaphore de la cité,
témoigne de l’oeuvre d'une logique de désagrégation, de dépérissement qui s'est emparée des choses
et des êtres. Un processus de péril est à l’oeuvre, entraînant les composantes du monde. La pièce
interroge le moment adolescent dans un tel contexte.(...)
La pièce interroge aussi la puissance inespérée du regard qui est comme le creuset de l'alchimiste par où la réalité s'invente autrement, et par où le processus peut-être renversé..."
Natacha Bianchi
Cie Atelier intemporain .
Mise en scène Natacha Bianchi
Avec Laure Maloisel et Nicola Candoni
Scénographie et costume Kristelle Paré
Lumière Gérald Karlikow
Construction décor Laure Gilquin, Christophe Coupeaux, Maelle Joly
Régie Vincent Tudoce
création mars 2013
spectacle à partir de 10 ans
"Cette pièce aborde l'adolescence. Les deux personnages sont chacun dans un moment de
détachement de leur vie passée d'enfant, au moment de cette perte et du vertige qu'elle provoque. Ils
sont chacun en dissension avec leur famille, déjà décomposée, puis recomposée. La solitude et le
sentiment d'abandon les éprouvent. Lui s'est retranché dans un local déserté. Elle vient de fuguer.
Ce local en décrépitude, ce centre communautaire qui est également une métaphore de la cité,
témoigne de l’oeuvre d'une logique de désagrégation, de dépérissement qui s'est emparée des choses
et des êtres. Un processus de péril est à l’oeuvre, entraînant les composantes du monde. La pièce
interroge le moment adolescent dans un tel contexte.(...)
La pièce interroge aussi la puissance inespérée du regard qui est comme le creuset de l'alchimiste par où la réalité s'invente autrement, et par où le processus peut-être renversé..."
Natacha Bianchi
